Pasowałby tu poetycki opis z poematu o Alpach napisanego przez Frédérica Monnerona (1813-1837)
".. Ils vont toujours. L'horizon s'ouvre immense,
Il se gonfle, il se perd, et toujours recommence ;
Confus, inépuisable, il s'enfuit, reculant
L'orageuse étendue au flot étincelant.
Et les monts sur les monts s'accumulent sans cesse ;
Le haut plateau succède au plateau qui s'abaisse,
Bordant de ces créneaux lugubres, désolés,
Les horizons de neige au clair azur mêlés.
Le glacier, qui se roule en vagues cristallines,
Allume aux feux du jour ses verdâtres collines".
".. Ils vont toujours. L'horizon s'ouvre immense,
Il se gonfle, il se perd, et toujours recommence ;
Confus, inépuisable, il s'enfuit, reculant
L'orageuse étendue au flot étincelant.
Et les monts sur les monts s'accumulent sans cesse ;
Le haut plateau succède au plateau qui s'abaisse,
Bordant de ces créneaux lugubres, désolés,
Les horizons de neige au clair azur mêlés.
Le glacier, qui se roule en vagues cristallines,
Allume aux feux du jour ses verdâtres collines".